André Eugène
Des sculptures audacieuses tirées des déchets d’une économie défaillante
« Quelque chose se passait dans le voisinage, les bandes de carnaval, le Pèp Samiz, les nombreux artisans sculpteurs et le vodou tout autour. C’est ce qui m’a entrainé dans la vie artistique.
Je voulais avoir une galerie, non pas seulement une galerie, mais un musée. Voilà pourquoi j’ai donné le nom de Musée d’Art E Pluribus Unum à mon studio et au Lakou. » (entretien avec Leah Gordon in site www.atisrezistans.com)